Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (58)

Après avoir regagné la chambre à la fin de notre repas qui leur a permis de leurrer leurs collègues, il me propose d’allée me rafraîchir.
Je vais dans la salle de bain et tranquillement je me fais couler un bain.
Je me dénude et m’installe pour un bon moment ayant toute la nuit à avant de retrouver mes consœurs.
Tout à une fin, j’enfile un peignoir et retourne dans la chambre.
Ces messieurs sont déjà couchés, chacun a revêtu un pyjama de même modèle, mais avec des couleurs différentes.
Le lit est assez grand pour tenir à trois sans se toucher. Chacun d’eux a plié son costume sur une chaise. Les plis sont impeccables.
Une place se trouve libre au bord du lit, prestement je fais glisser mon peignoir et me couche sur le drap nu, la température malgré la climatisation me le permet.

• Puis-je vous pose une question avant d’éteindre et de dormir.
• Bien sûr, tout ce que vous voudrez.
• Qui est David ?
• C’est moi.

Ces celui qui est le plus éloigné de moi qui lève la main dans son pyjama bleu. D’accord David, grands cheveux coupés en brosse. Pyjama bleu.

• Donc, tu es Louis.
• Par déduction c’est moi.

Il a des cheveux presque noirs et un pyjama brun.

• Puis-je vous poser une autre question ?
• Autant que tu veux, on te doit bien cela.
• Que faite-vous, d’où êtes-vous et comment en êtes-vous arrivé à refuser les femmes ?

Louis qui semble le plus hardi des deux m’explique.

• Nous vivons près de Nantes où nous avons un cabinet médical. Je suis médecin généraliste et David est gynécologue.
Nous habitons au-dessus de nos cabinets. Nous nous connaissons depuis les bancs de l’école.
Nous avons fait la fac de médecine de Brest d’où nous sommes originaires.
En fac, nous vivions dans la même chambre que nous louions dans une vieille maison du centre-ville.


Une nuit d’orage, de l’eau a coulé du plafond sur mon lit qui s’est rapidement trouvé mouillé. La chambre était si petite qu’il était impossible de le mettre à un autre endroit.
Une seule solution se coucher dans le seul lit au sec.
David m’a ouvert ses draps et je me suis allongé près de lui.
Dans ce lit de 90 ils nous étaient impossibles de coucher côte à côte.
Nous étions obligés de nous mettre sur le côté.
Je me suis mis dos-à-dos au début et nous avons continué notre nuit. Le lendemain était un dimanche et bien sûr sans cours.
Au matin, nous avions dû nous tourner dans la nuit et quand je me suis réveillé, j’avais la bouche à dix centimètres de celle de David.
Il a ouvert les yeux à ce moment-là, pourquoi nos lèvres se sont touchées, qui a réduit la distance, nul le dira, je l’ai pris dans mes bras et pendant de longues minutes nos bouches sont restées collées et nos langues ne pouvaient s’arrêter.
Mieux même, je sentais le long de ma verge, sa verge qui était aussi bandée que la mienne.
Je l’ai empoigné et je l’ai masturbé pour qu’il finisse par éjaculer sur moi.
Il a fait voler les draps et dégage mon sexe de mon bermuda. Il l’a carrément mis dans sa bouche. En moins de quinze secondes son sperme à gicler sur mes amygdales.
J’ai tout avalé et je l’ai nettoyé proprement. Nous sommes retombées sur le lit prostré pendant un long moment.
Nous étions puceaux et cet état était un fréquent sujet de discussion entre nous.
Quoique nous soyons bien mis de nos personnes, la gent féminine nous donnait l’impression de nous ignorer.
Nous avons même envisagé d’avoir recours à des putes pour remédier à notre problème.
David, un matin m’a dit qu’il avait repéré vers le centre-ville un hôtel où des filles amenaient des hommes. Il les avait vus sortir d’un bar situé à quelques mètres de là.
Plusieurs fois nous avons émis le projet de nous rendre dans ce bar, mais chaque fois nous trouvions une bonne excuse pour reculer le moment de franchir le pas.

C’est ce matin-là, la fuite de notre toit, nous ayant mis dans le lit l’un de l’autre et nous avons compris, ce qui nous faisait reculer pour aller voir les filles, nous nous aimions en silence et que ni l’un ni l’autre n’osait admettre cette vérité et faire le premier pas.
Pendant quinze jours, nous nous sommes contentés de nous embrasser, masturber et sucer.
Un matin, j’ai voulu aller plus loin. J’ai demandé à David de se mettre en position cul en l’air.
Je lui ai dit que je souhaitais lui sucer l’anus.
Il s’est prêté au jeu et j’ai pu lécher et aspirer sa rondelle.
J’avais une trique comme jamais. Je me suis redressé et j’ai présenté mon gland à son anus.
Je lui ai demandé si je pouvais y aller, il m’a répondu par un oui franc.
J’ai appuyé et en l’enfilant j’ai perdu mon pucelage.
Je l’ai empoigné par les anches et je l’ai pilonné autant que je le pouvais. Il aurait pu gémir, mais au contrire, il hurlait de plaisir.
Il m’a fallu quelques minutes pour moi aussi jouir et emplir son trou du cul.
Le temps de récupérer et David a souhaité perdre son pucelage lui aussi. Comment lui refusé après le plaisir qu’il m’a donné ?
Je me suis positionné et il m’a enculé. Quel plaisir, complètement différent du moment où j’étais celui qui était actif.
Sans le penser et sans le préméditer nous avons bien été obligés de reconnaître ce que nous refusions de voir, nous étions homosexuels.
• Et avec une femme, avez-vous essayé ?
• Non, jamais.
• David dit la vérité, tu as bien pénétré une de tes patiences !

La réponse à du mal à venir.

• Oui, c’est vrai, mais je l’ai enculé, sans toucher à sa chatte.
• On peut en savoir plus.
• Je veux bien. J’ai reçu en fin d’après-midi en urgence une femme qui au téléphone se plaignait d’une douleur à l’intérieur de son vagin.
Elle avait très mal et les calmants que j’avais prescrits une première fois ou elle était venue n’ont servi à rien.

Elle est arrivée à l’heure prévue. Je lui ai demandé d’enlever sa robe et de venir s’installer sur la table de travail et régler les étriers.
La robe enlevée, elle avait oublié de mettre un soutien-gorge et sa culotte, ce qui je vous le conçois était un peu bizarre.
Mais tu sais dans nos métiers et surtout en gynéco, j’en vois des étranges régulièrement.
Elle est montée nue sur la table et a écarté les cuisses me montrant sa chatte complètement épilée.
Je l’ai ausculté avec mes gants. Dès que je lui ai mis deux doigts pour toucher son col, elle s’est mise à crier.

• Oui, c’est là, oui c’est là que j’ai mal.

• Aucun geste professionnel qui pouvait engendrer ce type de réaction. J’ai tout de suite compris qu’elle n’avait rien sinon d’aller voir un mâle qui l’aurait sailli.

Je l’ai faite descendre de la table. Dès qu’elle a eu les pieds par terre, elle m’a sauté au cou me demandant de lui faire l’amour.
Elle avait envi de moi depuis la fois précédente où je l’ai examiné et où j’avais donné des calmants.
Elle est même allée au bord de mon bureau où elle a posé ses mains jambes écartées et ses seins me demandant de venir la prendre.
La vue de cette croupe tendue vers moi m’a fait craquer, j’ai sorti ma verge, je me suis positionné et je l’ai enculé avant qu’elle ait la moindre réaction.
Elle a hurlé, sans savoir si c’était de plaisir ou de douleur.
Peu m’importait, elle était venue m’allumer et se faire sodomiser était contraire à ses principes, c’était fait.
J’ai déchargé au fond de son derrière.
Quand ma verge est sortie, elle a récupéré sa robe, est sortie nue de mon cabinet oubliant de me payer.
J’ai dû la guérir de son mal de ventre, car je crois que j’ai perdu une cliente potentielle.
Vous voyez bien que comme Louis, je suis resté chaste avec une femme.

J’évite de le détromper afin qu’un climat délétère s’installe entre les deux garçons.


• Si vous avez voulu dans ce congrès avoir près de vous une femme, c’est que vous vivez mal votre homosexualité.
Ma profession qui est faite de contact avec des hommes et des femmes nous empêche de vivre au grand jour notre amour.
Combien perdrions-nous de clients ou clientes si nous affichons notre différence, je sortirais d’ici demain matin sans que vous sachiez si ma préférence va vers les hommes ou les femmes.
Je vais vous dire ce que j’en pense de ces hommes ou de ces femmes, qui quitteraient vos cabinets seraient des cons et cette femme a eu que ce qu’elle méritait alors qu’il ait été plus simple et plus direct qu’elle te dise que tu lui plaisais.
Si je vous racontais ce que j’ai vécu avant de devenir escorte donc pute, vous verriez que j’ai privilégié mon plaisir et le plaisir des autres avant les ragots et que je suis bien satisfaite d’avoir franchi le pas surtout qu’en à 1 heure du matin, je suis au lit avec deux hommes bien virils qui s’arrêtent à de petits points de détail bien futile dans leur vie.
Nous sommes ensemble pour la nuit, vous m’avez payé pour cela mes tarifs étant à la hauteur de ce que je suis capable de vous apporter.
Profiter de ce que nous soyons seules pour essayer d’avancer dans votre sexualité, je suis prête à vous guider dans votre recherche ?

Les deux hommes se regardent comme si j’étais une extraterrestre.
• On a peur que l’un ou l’autre ne soit jaloux et de casser l’osmose entre nous.
• Voulez-vous me faire confiance ?

Le regard entre les deux est le gage qu’ils me disent oui.

• Laissez-moi au milieu !
Pour débuter sans vous brusquer, la nature m’a donné deux seins, caressez-les tout en vous touchant les mains pour voit que l’autre est bien là.

La prise en main de mes tétons les fait durcir.

• Caressez-les tendrement doucement.
Pas de mouvement qui pourrait me faire mal. C’est bien, je peux vous dire que vous êtes très doués, regardez mes pointes, elles commencent à se redresser.
Bien, vous les avez assez caressées.
Maintenant, prenez les tétons en bouche et jouez avec eus avec votre langue…

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